René GILLET, Président-fondateur des boucheries NOVOVIANDE et des magasins JOUR DE MARCHÉ.
« Né en Bretagne, boucher de formation mais entrepreneur par passion et vocation, j’ai créé NOVOVIANDE en décembre 1974 : activité de boucherie sur les marchés de la région sud de Paris.
1975 : Un marché tous les jours ; mais très rapidement le besoin d’entreprendre se fait sentir. Entourée de collaborateurs exceptionnels, dont Alain DAGUET, l’entreprise se développe.
En 1980 : 6 marchés par jour et une première boucherie à Combs-La-Ville. À cette époque 25 collaborateurs. Dans les années 80, les grandes surfaces envahissent la région parisienne, le commerce traditionnel souffre, les petits commerces ferment.
Parallèlement les consommateurs sont à la recherche de la qualité, de prix intéressants, d’un bon service et souhaitent pour la viande : la compétence, la connaissance et les conseils d’un vrai boucher. Pour répondre à ces attentes, NOVOVIANDE recrute les meilleurs bouchers, les meilleurs vendeurs et vendeuses et met en place des programmes de formation.
En 1995 NOVOVIANDE compte 8 boucheries, emploie 100 personnes et a servi dans l’année près de 500 000 clients.
En 1998 c’est la crise de “la vache folle” : la filière et le métier sont sinistrés. Afin de rassurer ses clients, NOVOVIANDE met en place une politique d’achats très rigoureuse et exigeante ; nos fournisseurs doivent répondre aux normes de traçabilité en vigueur.
En 2004 : afin d’apporter encore plus de sécurité à ses clients, NOVOVIANDE recrute un ingénieur, formation Agro Alimentaire et Santé ; c’est une femme dont la mission est de s’assurer que toutes les mesures en terme de sécurité, de traçabilité et d’hygiène sont bien respectées. Un laboratoire indépendant a pour mission d’effectuer régulièrement des prélèvements et des tests sur nos produits.
En 2024 : l’entreprise NOVOVIANDE c’est 41 magasins, dont 1 magasin à l’enseigne JOUR DE MARCHÉ, (magasin qui, en plus de la viande propose fruits, légumes, crèmerie, fromage dans le magasin JOUR DE MARCHÉ de Brunoy) et une plateforme NOVORIS dans le MIN de Rungis.